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We are all in civilization camp

 
uploaded: Mon, May 1, 2017 @ 8:17 AM
bykinsame
FeaturingAnalogByNature
length3:22
BPM160
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Les coulures salines sinuent souvent entre ces seins qu’érige ce certain soleil au croire de la pénombre en contes de fraîcheur, voleurs de soupirs à coeur-chercheurs.
Contraste.
Gouvernemental ?
A la graisse de la Grande Mère comparée en soude germinatrice de genèses explosives se jouie un son récurrent avec des gémissements décidés de métrique. Symphonie bestiale.
Baiser avec la terre.
Ça m’excite trop !
Permission de permutation accordée sur l’angle des sangles virtuelles à l’orbite des giclées vespérales qui cherchent à alunir derrière les tétons de grêle.
Perler la liesse ou parler la laisse.
Ne surtout pas, en tout cas faciliter l’intelligence des choses.
Cette stridence de la chair où espère l’éther des inflexibles mercuriales d’une malédiction sanctifiée en tradition masochiste par phobie du bien ainsi nommé en vue de l’oblation terminale.
La pureté des vierges tueuses.
Sasser sans cesse le sens.
Seul le sang est sacré.
Je t’égorgerai bien pour le prouver…
Mais, il est impossible de mettre un préservatif sur les lampadaires, du coup les électrons éjaculent par milliards et par milliards sur les trottoirs abattoirs oeuvrant ainsi à la survie de l’erreur du remplissage total programmé sans le savoir pour la fin et depuis le moindre début.
Je s’oubli et te dis de chanter pour Elle.
Maestria. Anima sola.
Et les flammes…
Les flammes lèchent de plus en plus fort le corps qui ne s’envole plus par rémission des baguettes du Beth-Luis-Nion en toute crémation :
HURLER LE CULTE DU CARNAGE !
Cependant les flammes n’en font qu’à leur tête…
Les flammes ne fanent pas sans eau.
Les flammes fixent fièrement la fin en se pourléchant les babines, par de là le grand gouffre, derrière la forteresse des dents, là où se cachent la langue, instigatrice.
Complexion est aussi son nom.
Toujours aussi con, là se cascade la vérité.
Avec ses mousses en tampax, cette putain de vérité diffuse un soma, invariablement assimilé au coma, qui saigne les oreilles afin de les transformer en anus ou en vagin, toujours vierge.
Oréade de l’air.
Un prout quoi !
Question de fréquence.
A quoi bon valoriser celle-ci ?
La lumière de l’épiderme éclabousse de désirs l’invocation au Sauveur qui n’est autre qu’un mensonge édifiant qui déchaîne tout avant même chaque seconde. Croire corroborer un corridor.
L’étreinte d’une main géante.
Sécurité intense.
Le rictus opère sa mission de possession par le geste, pas de cerveau gauche à faire le reste, car la lune démone l’a déjà mis en transe, il n’est déjà plus lui, peut-être encore elle, qui sait ce qui se trouve entre eux ?
Vous êtes tous en camps de civilisations !
On fait déjà tout de vous !
Tiens, « On » voilà ce que je cherchais.
Quête du on.
Question ?
Mon con oui !
C’est. Les règles rubis de la grammaire inondent le monde vous incitant à une quotidienne libation d’hémoglobine, bien trop alléchante et dispensatrice de fontaine de fric.
On s’en branle, bien sur !
Vous et vos blessures si sûres.
Serrures en fait.
Défoncer devient l’ultime nécessité au dessus des canapés prédicateurs et de vos djihads journaliers.
Allez je vous en prie, prenez donc un autre terroriste s’il vous plait, cela vous fera plaisir je le sais…
 

"We are all in civilization camp"
by kinsame

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